Du mouvement social / 2019

"Un hiver jaune" / Black Lines (janvier 2019)
État policier (Acte 53 des Gilets jaunes) (samedi 16 novembre 2019) Place d'Italie (Paris), Acte 53 des Gilets jaunes (premier anniversaire du mouvement)
En plein visage (samedi 29 juin 2019) Contribution à l’"hommage à nos victimes" et à la "dénonciation des violences policières et judiciaires contre les gilets jaunes"
Marche blanche des "gueules cassées" (samedi 2 février 2019)
Acte XXXIII des Gilets jaunes - "Hommage à nos victimes" / Paris, le samedi 29 juin 2019
Acte XIV des Gilets jaunes (samedi 16 février 2019)
Acte XVIII des Gilets jaunes & Marche du siècle (samedi 16 mars 2019)
Rassemblement en soutien à Geneviève Legay (mardi 26 mars 2019)
Profs et parents d'élèves sont aussi dans la rue (samedi 30 mars 2019)
Liberté ! (samedi 13 avril 2019)
"Libérez Gaël !" (lundi 17 juin 2019)
Occupy Italie 2 (samedi 5 octobre 2019)
Convergence des luttes / occupy Italie 2 / vidéos (samedi 5 octobre 2019)
Manifestation du jeudi 5 décembre 2019 (Paris) / en N&B
Manifestation du mardi 10 décembre 2019 (Paris)
Manifestation du mardi 17 décembre 2019 (Paris) / en N&B
Read More
  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • "Un hiver jaune" / Black Lines

    "Un hiver jaune" / Black Lines

    Rue d'Aubervilliers (Paris), le 26 janvier 2019 La fresque "l'hiver jaune" de 300 mètres de long, rue d'Aubervilliers, réalisée à l'appel du collectif Black Lines, a été censurée fin février 2019. Les œuvres de 25 artistes ont été recouvertes de peinture grise. Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris : "Nous avons reçu de la préfecture de police une injonction d’effacement de la fresque car celle-ci portait atteinte à l’image des forces de l’ordre." Pour les street artists, il s’agit tout simplement de censure. "Les artistes sont l’un des baromètres de notre société, la liberté d’expression est un droit fondamental. Aujourd’hui ces censures que nos fresques subissent démontrent que rien n’est acquis !", lance le grapheur Lask, cofondateur de Black Lines. "Plus de cinquante de nos œuvres ont été détruites en deux mois, aujourd’hui pour ce motif, hier pour un autre. Parmi les artistes présents certains exposent en galeries, d’autres à l’international, complète Itvan K. Ce pas à nouveaux franchi contre les libertés est juste révoltant. On ne censure pas l’art sans réveiller des pages sombres de l’Histoire."

  • Photo Sharing
  • About SmugMug
  • Browse Photos
  • Prints & Gifts
  • Terms
  • Privacy
  • Contact
  • Owner Log In
© 2021 SmugMug, Inc.